La fin du Baron

Alors que la tempête disparaissait tout juste du ciel des Maleterres, les renforts de la Croisade d'Argent détruisants le reste du Fléau en la Cité de la Main de Tyr, se débarassant des liches qui canalisaient un bouclier peut puissant autour de la Ville, anéatissants les dernières abominations du Fléau et purifiants le peut de la Terre déjà pestiferées. Ils reformèrent égallement un bouclier sacré comme le précédent qui avait été détruit par l'Usurpateur, les haut-prêtres de la croisade étaient tous réunient et canalisait cette imensse bulle sacrée visible qui brûlait le corps des non-vivants du Fléau restés à terre. Du haut de sa nécropole, restant à l'intérieur du bouclier de la Croisade, le Baron rilla de l'arrivée du Courroux des Justes après cette nuit de repos qu'ils avaient bien mérités, pour avoir terrasser ses troupes. Malgré cette nuit de presque-repos, les héros n'avaient pas récuperées toutes leurs forces mais ils savaient bien que Van Leyr devait être vaincu, et que le moment était venu. Des appareils arcaniques magiques fournit par un allié du Courroux des Justes avaient été placé dans l'Abbaye, empêchant la téléportation d'arrivée ou de fuite. L'Usurpateur resta longtemps dans sa nécropole, jusqu'à ce que les champions du Courroux des Justes soient seuls dans la Cité, sur leur demande.

Les héros savaient que une fois seuls dans la Main de Tyr, le Baron ne tarderait pas, ils s'accordèrent alors une prière commune dans la Cathédrale dont l'extérieur était brûlé et l'intérieur était recouvert de toiles de nérubiens et des cadavres de ceux-ci. La tempête repprit, l'orage fesait rage, la pluit et la brume voilaient la Ville et laC'est en sortant du lieu sacré que Van Leyr les attendaits – seul, et ce fût bien le plus grand étonnement de chacuns – ou presque, que de le voir prêt à combattre, sans renforts ... Après quelques regards et discutions sur la Justice, la Vengeance et la Lumière que Van Leyr négligeait que le combat était prêt à être provoqué.
De dernière parôles de Van Leyr fût dites : « à moi, mes serviteurs. », alors Thaldorn, Soleil, Cylina et Ragèn lui répondit afirmement d'un « oui, Maître. » puit vinrent se rangés prêt de lui. Dans les yeux de Azaart et de Koros se lisait l'intérrogation mais aussi une certaine crainte, il ne pouvait faire de mal à leurs amis qui étaient très certainement asservis, et non pas des rangs de leur ennemi à leur juste vouloir. Après un dernier regard entre Azaart et Koros qui étaient maintenant seuls du côté de la Lumière, ils chargèrent le Baron Van Leyr qui s'engloba lâchement d'un bouclier magique impie. Thaldorn chargea alors Azaart, engageant combat contre lui, alors que Ragèn et Soleil s'en prirent à Koros, Cylina accordait les soins aux serviteurs asservis du Baron ...


Du côté de Azaart et de Thaldorn, la Lumière était utilisée des deux – Thaldorn aussi puisque malgré son asservissement, il gardait foi en la Lumière, Azaart qui préfèrait se protegé des coups que d'attaqué son ami utilisé longtemps son bouclier comme barrière défensive, mais les coups puissants de Thaldorn portant un énorme marteau ne tardèrent pas à féler le bouclier, Azaart était prêt à combattre, mieux ne valait pas attendre que le bouclier se brise, il n'aurait alors plus de défense. Azaart toujours concentré dans la défense se concentrait sur la parade, mais elle n'était pas facile avec son petit marteau, il enchaîna alors des coups sur son adversaire qui ne les ressentais presque pas sous sa lourde armure de plaques. Thaldorn mettait toute sa puissance dans ses coups, concentré sur la tête de Azaart qui n'était pas protégée, il frappa nonbreuses fois, mais Azaart savait ce qu'était le combat et il resista, sans-même l'idée d'invoqué son casque.
Il se fit accordé des soins par Koros à quelques mètres de lui qui devait se protégé de Ragèn et de Soleil en même temps. Koros était extrèmement rapide dans ses coups, la légèreté de son arme – Zel'an – lui accordait grande aide fasse à ses deux adversaires. Ragèn utilisa ses runes dans le givre et l'impie particulièrement, le soin ne lui était pas néccésaire puisque c'est Cylina – légèrement reculée, qui s'en chargeait. Il frappa Koros de coups nécrotiques lui infligeant des pestes que l'épée sacrée de Koros absorbait. Les coups glacials que le Chevalier de la Mort portait sur le paladin lui infligeait un terrible froid ralentissant ses mouvements, pendant se temps Soleil utilisa aussi de son marteau, ses faibles coups focalisés sur Koros le mit en rogne, il attrapa rapidement l'humaine et la désarma afin de pouvoir se concentré sur Ragèn.

Du côté de Azaart qui avait déjà le visage en sang et d'autant pour Thaldorn, il n'hésitait plus à frapper encore et encore, des coups souvent bloqué de son adversaires, les éclats de son bouclier volaient pendant le combat, la frappe de son martelet sur l'armure de son adversaire rendait des étincelles qui brillaient encore plus avec la pluie qui éclatait sur son armure. Azaart vit Koros tombé au sol, il repoussa violamant Thaldorn de son bouclier, le fesant chuté sur le sol boueux. Il courra à la porté de Koros et -tous en criant « Tenacité Koros, Tenacité ! » , il lanca un bouclier protecteur magique sur Koros, au même moment Ragèn – chargeant son coups de toutes ses runes, mit un grand coup sur le paladin, qui fût heureusement arrêté par le bouclier sacré qui fît volé sa lame runique en éclats. Le Chevalier de la Mort recupéra l'arme de Soleil quelle n'avait pas eu idée de recuperé au sol et continua son combat contre Koros qui – d'un geste de tête, remercia Azaart qui venait juste de reprendre combat contre Thaldorn à peine relevé. Il ne tarda pas à le remettre au sol d'un bon coup dans la tête qui l'assoma certainement. Azaart – chargeant l'adversaire de Koros pour lui venir en aide, s'arrêta un moment et en se retourna, voya le Baron canalisé un sort rendant Thaldorn d'une taille importante et le reveillant, il repprit le combat contre lui, épuisé. Le sortilège illoyal de l'Usurpateur avait annulé son bouclier, mais ce n'était pas le moment, les deux paladins devaient se débarassés de leurs adversaires, Cylina avait fini par manquée de mana, sans défenses et ne resista pas longtemps au sortilège de repention de Azaart et Soleil était sonnée d'un coup de gants de plaque que lui avait donné Koros.
Une fois Van Leyr dans le combat, Azaart et Koros devaient alternés leurs coups, et ça marchait plutôt bien jusqu'à ce que Ragèn, Thaldorn et Azaart soit dénoués de coups et assomés.

Le combat continua, Koros contre Van Leyr. Heuresement pour lui, Koros évitait presque tous les coups extrèmements puissant de l'Usurpateur, au bout d'un moment, Koros fut vite épuisé, il affronta alors son ennemi sans esquives. La lame de Van Leyr éclatait petit à petit sous les coups de l'épée sacrée de Koros, il utilisa alors de magie nécrotique pour invoqué une goule. Une fois le mort-vivant tué, Koros se focalisa sur le nécroseigneur, la lute n'était pas facile. Van Leyr ne semblait jamais épuisé alors que les mains de Koros tremblaient, son visage était recouvert de sueur et son armure lui semblait si lourde.
Azaart se relevant dûrement du sol boueux où il y avait été assomé, reprenna son arme et rejoint Koros contre le Baron. Après plusieurs coups de masse, le casque de Van Leyr vola en morceaux et le Baron tomba au sol, avant même-lui le temps de se relevé, Azaart voya et arracha la clé attaché à une chaîne autour du cou de l'Usurpateur, celle dont lui avait parlé Zermat, le Voyant.
Il laissa Van Leyr au sol et courra vers le Donjon, pour recuperé son griffon ... le Baron reveilla - grâce à un sortilège tous ses serviteurs asservis, tous courèrent après Azaart, Koros ne comprit même pas ce qu'il se passait ... Le Baron Van Leyr chevaucha son griffon squelette pour rejoindre sa nécropole avant Azaart – qui ouvra un coffre prêt du trône du nécroseigneur, dégaïna la dague attachée à sa ceinture, et d'un violant coup, poignarda le coeur à l'intérieur du coffre, puis regardant tombé de sa monture Van Leyr et mourrant, au sol.

C'est le début d'une nouvelle ère pour le Courroux des Justes, la mort du Baron Van Leyr, dit « l'Usurpateur ».

Par Damien dit « Alnira Forlight » ou « Le vilain cruel ennemi de la mort du Courroux des Justes ».